La démarche chorégraphique se concentre sur la recherche d’une écriture commune et le partage des parcours et sensibilités distinctes des danseuses.
Bousculer les codes et conventions, favoriser la mixité des genres et des apports pour aboutir à une danse plus libre.
S’interroger sur ce qui définit le mouvement, est-ce son chemin, son moteur, sa finalité ?
S’interroger sur la nécessité de mettre en mouvement.
Exprimer le fruit de nos recherches par le langage du corps. Confronter les différentes possibilités offertes autour d'une même proposition. Expérimenter les différents points de vue.
Se confronter à différents univers, enrichir la gestuelle et le potentiel artistique en se nourrissant des différentes influences. Une perpétuelle recherche sans fin définie.
Explorer le vide et se rendre compte qu’il est rempli.
Notre intérêt à ce qui pourrait paraître anodin, car c’est en fait une mine de possibles.
Du « rien à tout ». On part des questionnements et de l’envie de proposer, de prendre, d’échanger.
Comment composer une pièce lorsque notre mode de fonctionnement n’est pas narratif, mais une logique de laboratoire ?
Le vide, comme en attente d’informations, partant du principe que ce vide nous ramène à l’essentiel, c’est un vide rempli de notre intention, de notre présence à nous-même. Nous voulons remplir cet espace d’un « quelque chose ». Et puisque le vide révèle la richesse de toutes les intentions, comme un passage vers l’infini, cela nous confère d’inépuisables possibilités d’invention.
L’espace est envisagé comme position de représentation, un aspect fonctionnel de l’œuvre. L’espace comme un moyen perceptif pour traduire l’existence des objets et leurs interactions, comme intermédiaire imperceptible mais nécessaire à la représentation des choses.
Nous constatons la non indépendance de la matière et de l’espace, la non autonomie de l’espace.
Le fil conducteur : le vide est rempli de multiples possibles, envie d’explorer cette théorie par le mouvement.
Les intentions : Par le mouvement, se permettre de transformer toute proposition de matières selon nos différents points de vue et sensibilités. Déranger notre façon de penser les formes et leurs fonctions. Inventer l’impossible, sans jamais penser de fin, mais ouvrir des portes de réflexion. Faire émerger ce qui nous touche.
Les orientations : Lund Quartet, Platel, Lemi Ponifacio (liste non exhaustive)
Les actions : Se transmettre des techniques par le mouvement. Se transmettre notre vision de l’infini en partant du vide et en passant par la démultiplication du mouvement. Déconstruction/ Reconstruction.
La démarche chorégraphique se concentre sur la recherche d’une écriture commune et le partage des parcours et sensibilités distinctes des danseuses.
Bousculer les codes et conventions, favoriser la mixité des genres et des apports pour aboutir à une danse plus libre.
S’interroger sur ce qui définit le mouvement, est-ce son chemin, son moteur, sa finalité ?
S’interroger sur la nécessité de mettre en mouvement.
Exprimer le fruit de nos recherches par le langage du corps. Confronter les différentes possibilités offertes autour d'une même proposition. Expérimenter les différents points de vue.
Se confronter à différents univers, enrichir la gestuelle et le potentiel artistique en se nourrissant des différentes influences. Une perpétuelle recherche sans fin définie.
Explorer le vide et se rendre compte qu’il est rempli.
Notre intérêt à ce qui pourrait paraître anodin, car c’est en fait une mine de possibles.
Du « rien à tout ». On part des questionnements et de l’envie de proposer, de prendre, d’échanger.
Comment composer une pièce lorsque notre mode de fonctionnement n’est pas narratif, mais une logique de laboratoire ?
Le vide, comme en attente d’informations, partant du principe que ce vide nous ramène à l’essentiel, c’est un vide rempli de notre intention, de notre présence à nous-même. Nous voulons remplir cet espace d’un « quelque chose ». Et puisque le vide révèle la richesse de toutes les intentions, comme un passage vers l’infini, cela nous confère d’inépuisables possibilités d’invention.
L’espace est envisagé comme position de représentation, un aspect fonctionnel de l’œuvre. L’espace comme un moyen perceptif pour traduire l’existence des objets et leurs interactions, comme intermédiaire imperceptible mais nécessaire à la représentation des choses.
Nous constatons la non indépendance de la matière et de l’espace, la non autonomie de l’espace.
Le fil conducteur : le vide est rempli de multiples possibles, envie d’explorer cette théorie par le mouvement.
Les intentions : Par le mouvement, se permettre de transformer toute proposition de matières selon nos différents points de vue et sensibilités. Déranger notre façon de penser les formes et leurs fonctions. Inventer l’impossible, sans jamais penser de fin, mais ouvrir des portes de réflexion. Faire émerger ce qui nous touche.
Les orientations : Lund Quartet, Platel, Lemi Ponifacio (liste non exhaustive)
Les actions : Se transmettre des techniques par le mouvement. Se transmettre notre vision de l’infini en partant du vide et en passant par la démultiplication du mouvement. Déconstruction/ Reconstruction.